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Alors que certains organes de presse ont proné d'une manipulation politique contre Abdou Karim Meckassoua, Président de l’Assemblée nationale suite a l'affaire Coup d'Etat dénoncé,  les révélations continuent leur chemin, en voici une qui est fondée sur le résumé des Procès verbaux dont notre redaction s’est procuré copie de source sûre averant que les sieurs Djamal Abdoulaye Hisseine, Adelkarim Dahab, Adam Bourouma Abasse, Sakhairou Ahmed, Amine-Nassour Abdoulaye et Moustapha Ibrahim, tous se confirmant cultivateurs tchadiens et arrêtés le 4 juillet dernier en terre centrafricaine, puis déférés il y a une semaine à la Maison d’arrêt de Bangui, ont fait des dépositions terrifiantes. Ils confirment sur Procès verbal que Abdou Karim Meckassoua, celui qui serait qualifié du mentor de "mal'' en République Centrafricaine à cause de son fameux projet d'islamisation de la République Centrafricaine, auquels certains de nos articles ont révelé qu'à l'époque du feu Président Ange Felix Patassé, ce dernier a induit en erreur le Président de la Communauté Islamique Centrafricaine, le Colonel Marboua propriétaire de la villa sassara prise de force par François Bozizé, d'aller faire la déclaration visant la création du parti islamique centrafricain à la radio.
Informé de la situation le chef de la sécurité présidentielle le feu Général Ndjadder s'est déployé à la radio centrafrique et arreté le colonel marboua qui a très vite dénoncé karim méckassoua Directeur de cabinet de goupandé.
Pris dans l'étau et torturé par la garde présidentielle, karim meckassoua a bénéficié de l'intervention de ses pairs du cercle maçonique pour etre évacué en France et soigné son pied. par revenche ce dernier a soutenu Bozizé et les mutins a assassiné ndjadder lors du Coup d'Etat manqué de mai 2001; puis mobilisé les zakawa à prendre par à la rebellion de Bozizé pour renverser patassé en mars 2003.
Patron de l'islamisation et du djihadisme en centrafrique, limogé du Gouvernement karim meckassoua a incité un premier conflit entre chretien et musulman dans les années 2011 au km5, de proche et de loin dans sa simulation, il pilotait de loin la coalition séléka à renverser bozizé en 2013, à distance karim méckassoua pilotait aussi la violence au pk5 après la démission de michel djotodia; à tout prix pour devenir le Premier Ministre de la Transition et s'imposé pour renverser cathérine samba panza. Karim Meckassoua soutient Ali Darass à Bambari, Al katim à Bandaro et 50/50 et son clan au PK5, c'est bien ce qui a été dénoncé par joseph zoundéko, par crainte pour que la vérité éclate méckassoua a organisé son élimination du système, ensuite de big man remplaçant de 50/50 qui serait allé dans la journée avant sa mort exiger à meckassoua de leur payé leur "frais de mission" meckassoua lui a remis l'argent et si tot après ce dernier a été abattu en plein km5.
Rappelant que karim meckassoua le simulateur, fait du mal à distance sans pour autant s'afficher, imaginer lui qui était à l'initiative de la réconciliation entre djotodia et bozizé à nairobi par le concours de l'homme qu'il a qualifié de son partenaire le président congolais dénis sassou nguéssou, aujourd'hui méckasoua fait ses simulations et joue au jeu de couteau à double tranchant en faisant ignorer aux gens qu'il n'a pas été favorable au plan d'amnistie de bozizé et nourédine alors qu'il était l'un de leur aux négociations de Nairobi.
Aujoud'hui le sang coule en centrafrique, les groupes armés exigent l'amnistie et que meckassoua en profite de faire son jeu pour parvenir à ses fins propres 
 

Pour ne pas finir voilà l’actuel Président de l’Assemblée nationale centrafricaine et l’un des candidats malheureux à la dernière élection Présidentielle a recruté des mercenaires cités ci-haut pour assassiner le Président de la République Faustin Archange Touadera.

le 4 juillet 2017 à Pk 26 sur la route de Boali se passent de tout commentaire.  Qui sont ces mercenaires vraiment ?

A en croire des dépositions faites sur procès verbal dont centrafrique plume a reçu copie, les six compagnons mercenaires écroués à la maison d’arrêt, avant leur déferrement, la déclinaison de leur identité révèle qu’ils sont tous des sujets tchadiens. « i – Djamal – Abdoulaye Hiseine, je suis né le 25 août 1988 à N’Djamena (Tchad), de Abdoulaye Hisseine et Awa Daoud, de nationalité tchadienne, célibataire avec un enfant, profession cultivateur », c’est ainsi que s’est présenté le premier interrogé.

Et la suite, « ii –Abdelkarim Dahab, je suis né le 01 janvier 1984 à Biltine (Tchad), de Abdelkarim Dahab et Kaltouma Mahdid, de nationalité tchadienne, célibataire avec trois (03) enfants, profession cultivateur ; iii – Adam Bourouma Abasse, je suis né le 01 janvier 1979 à Dagaga (Tchad), de Bourouma Abasse et Mariam Ahamat, tous de nationalité tchadienne, célibataire  avec cinq (05) enfants, profession cultivateur ; iv- Ahmat Sakhairoun Ahmat, je suis né en 1991 à Biltine (Tchad), de Sakhairoun Ahmed et Katchidjo Défala, de nationalité tchadienne, célibataire sans enfant, sans emploi ; v- Moustapha Ibrahim, je suis né en 1980 au Tchad, de Feu Moustapha et Awa Adam, tous de nationalité tchadienne, Cultivateur, célibataire avec trois (03) enfants et ; vi- Amine Nassour Abdoulaye, je suis né le 1er janvier 1985 à Bangui, de Nassour Abdoulaye et Kaltouma Youssouf, tous de nationalité tchadienne, commerçant, célibataire avec trois (03) enfants, domicilié au Km5 », telle a été la déclinaison de l’identité des présumés assassin du Président Touadéra.

L’exploitation sérieuse du document en possession de centrafrique plume révèle que ces mercenaires ont été arrêtés le 4 juillet dernier sur la barrière de Pk 26 en provenance de N’djamena, via Garoua-Boulaye, alors qu’ils tentaient de pénétrer dans la capitale centrafricaine. L’attention des forces de sécurité intérieures serait attirée sur eux que par leur Laissez-passer indiquant qu’ils sont tous cultivateurs tchadiens.

« Conduits au bureau de notre unité, ceux-ci nous déclarant clairement être recrutés depuis le Tchad voisin, moyennant une somme de 500 000 F.CFA chacun par un certain Mahamat – Hassan, personnel auprès d’une banque dénommée Al Bachar située dans la localité de Bultine sur demande d’une haute autorité centrafricaine nommée, Karim-Meckassoua ; avec consignes de descendre à Bangui pour une mission secrète », peut-on lire dans ce document. Ainsi, au total deux millions cinq cent mille Francs Cfa (2 500 000 F.CFA) ont été déchargés cash par Abdel Karim pour cinq personnes à se partager.

Entretemps, une fois arrêtés, les forces de sécurité intérieures ont procédé à une exploitation des téléphones de ces mercenaires. Premier résultat : Sieur Amine – Nassour qui serait l’homme de main de Meckassoua dans ce sulfureux feuilleton – chargé d’accueillir ces mercenaires à leur entrée à Bangui, a été interpelé. En effet, ce dernier aurait fait vingt-sept (27) appels téléphoniques sur l’un des téléphones, selon le document, et que dans le téléphone du Sieur Abdelkarim Dahab, il y aurait trois photos de Touadera et une photo de Meckassoua. Toutefois, le document en possession de centrafrique plume laisse croire que Sieur Amine Nassour interpelé sur-place à Bangui, nierait catégoriquement toute implication et n’avoir reconnu  ces mercenaires.

Au regard de la gravité des dépositions, confirmant justement des projets de déstabilisation d’un Etat, la conclusion du document a été toute simple :
« De toutes les enquêtes menées, il ressort que les nommés Djamal-Abdoulaye Hisseine, Adelkarim Dahab, Adam Bourouma Abasse, Sakhairou Ahmed, Amine-Nassour Abdoulaye et Moustapha Ibrahim sont coupables et peuvent être poursuivis pour : atteinte à la sureté intérieure de l’Etat ; terrorisme ; espionnage et ; association des malfaiteurs ».

Signalons au passage que les faits susmentionnés sont prévus et punis par le Code centrafricain, notamment  aux termes des articles 285, 296, 411 et suivant.

A la dernière nouvelle, le nommé Abdel Karim Dahab aurait, dans sa déclaration, affirmé qu’ils seraient au total quarante (40) mercenaires à être recrutés et formés à Abeché au Tchad avant de chercher à descendre sur Bangui en petit groupe de trois (03) à cinq (05) hommes.

Ces derniers pour se débarasser du joug de la justice se disent prets pour dénoncer Karim Meckassoua devant la justice; alors qu'il est depuis en mission prévue d'une semaine à luxembourg mais ayant dépassé le temps. Son absence au pays à déja fait presque un mois par conséquent nous nous démandons, que meckassoua conscients de son plan dénoncé aurait pris fuite par crainte de comparaitre devant la justice?

Le Parlement et la Justice doivent se saisir de cette affaire à suivre...

Jean ISSAKA 

@centrafriqueplume

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