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Hier nul ne saurait qu’un jour que la République Centrafricaine arrive au temps des grandes révélations. Nous en voici aujourd’hui y être. En se penchant sur les paradoxes faisant l’objet des plus grandes réflexions que le monde entier ne cesse de s’interroger sur et comment, la RCA a pu simultanément échapper à la guerre civile en 1997 et 2013 ?
L’heure a déjà sonné pour que le bas peuple centrafricain reconnaisse ses frères qui ont été toujours à son chevet dans les pires et les meilleurs, car en Centrafrique au moment où quelqu’un se lève pour faire du bien, les méchants se lèvent de tous coté avec les obstacles pour l’entraver et même nuire à sa personne. Nous ne terminons nos propos qu’en ouvrant les parenthèses suivantes à travers cet adage : « on ne reconnait jamais les valeurs d’un Héro chez lui. » Comprenant juste qu’en Centrafrique les bienfaits d’une personne ne sont cités que le jour de ses obsèques. Voilà ainsi, en s’inspirant du slogan « plus jamais ça » notre équipe a saigné à blanc pour lever les voilà du temple des méchants et de donner les vraies réponses aux interrogations des chercheurs sur la manière que la RCA ait fait pour s’échapper à la guerre civile en 1997 et 2013.
Pour comprendre, rappelant qu’en 1996, 1997 et 1998, les mutineries ont pris une très mauvaise tournée ayant évanoui l’économie nationale et plongé le pays dans un regain de violence qui avait suscité l’intervention de la communauté internationale à l’occasion du sommet France-Afrique décidant de déployer une Mission Inter Africaine de Surveillance des Accords de Bangui (MISAB) qui était plus tard transformée en Mission des Nations Unies en République Centrafricaine (MINURCA), constituée des contingents Ivoiriens, Togolais, Maliens, Gabonais etc. ; qui travaillent en étroite collaboration avec les autorités centrafricaines, représentées par le Ministre Conseiller en matière de sécurité à la présidence de la république à l’époque, Monsieur Jean JacquesDémafouth qui a réussi à mettre en place un plan stratégique ayant conduit les mutins à se mettre à la table de discussion et qui acceptent de déposer les armes pour s’impliquer massivement dans le processus de réconciliation nationale, ce qui a conduit le pays aux élections libres, démocratiques et transparentes remportées au premier tour par le feu Ange Felix Patassé.
Patassé convaincu et conscient des efforts déployés par Démafouth que même les responsables de la communauté internationale ne cessent de témoigner sa flexibilités et son expérience en matière de stabilisation du pays, décide de lui tendre la main, en lui donnant la confiance de s’installer à la tété du Ministère de la défense nationale pour jouer pleinement son rôle, c’est-à-dire pacifier le pays, assainir l’armée nationale et restaurer la sécurité. Dans ses cahiers de charge ce dernier n’a pas hésité de combattre pour obtenir l’augmentation du salaire des Forces armées Centrafricaines.
Toutes ces grandes réalisations en peu de temps ont permis à la RCA de s’échapper pour la première fois à une guerre civile mais malheureusement le malheur de la RCA frappe à la porte, le 28 Mai 2001 dans les environs de deux heures (2h) du matin, la résidence d’Ange Felix PATASSE était attaquée par des Hommes en armes, Coup d’Etat manqué. Grace à une armée nationale efficace, reformée par Jean Jacques Démafouth, le pouvoir de Patassé était épargné. Bouleversé par la colère et les fausses allégations inventées par certains de ses entourages, Patassé demandait la tête de Kolingba et ouvre la chasse aux sorciers, ainsi les adversaires politiques de Jean Jacques DEMAFOUTH ont profité de l’occasion pour lui donner un coup bas.
Revenu aux affaires en 2013, pour arrêter l’hémorragie due aux exactions abusives des ex-rebelles séléka en ses qualités du Ministre Conseiller à la Charge du Désarmement Démobilisation et Réinsertion à la Présidence auprès de Michel Djotodia qui a renversé François Bozizé, le 24 Mars 2013. Il allait plus vite mettre en place un plan de désarmement forcé des ex-séléka et sollicite d’urgence l’intervention de la mission internationale de sécurité qui a joué pleinement son rôle dans le processus du désarmement, Bangui reprend son ambiance mais les évènements du 5 décembre 2013 ont plongé à nouveau la RCA dans un bain de violence que nul ne voyait la RCA sortir en moins de dix ans.
Michelle DJOTODIA démissionne le 10 Janvier 2013 sous la pression des Chefs des Etats et des Gouvernement de la CEEAC à Ndjamena. Le Conseil National de Transition a élu Catherine Samba Panza à la tête du pays.
Arrivée à la tête du pays, Catherine samba Panza consciente des œuvres et grandes réalisations de Jean Jacques Démafouth et la confiance que lui doit la communauté internationale, décide de lui tendre la main à nouveau pour gérer la situation au moment où l’armée, la police et la gendarmerie ont complètement failli, mais en peu de temps, la main dans la main avec la communauté internationale, la sécurité revient progressivement et en grande vitesse. Bangui qu’on croyait devenir la capitale de la somalie reprend son ambiance, la police et la gendarmerie remontent en toute puissance et le réarmement des éléments de la FACA tant exiger devient une réalité par le déploiement du bataillon d’intervention territoriale 1 (BIT 1), la MISCA passe le relai à la MINUSCA. L’union européenne a déployé ses forces (Eufor) tous pour sécuriser la RCA grâce au lobbying de jean jacques démafouth sous la houlette de Catherine samba Panza chef de l’Etat de transition, déterminée de conduire la RCA aux élections qui marqueront la fin du processus de transition.
Voilà en quelques sortes comment la RCA a été épargnée d’une guerre civile, grâce à l’engagement patriotique de jean jacques démafouth. Le peuple centrafricain doit aujourd’hui comprendre que ce sont les efforts louables de ce Monsieur qui lui ont crée des ennemies car il veut que les choses vont bien.