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Jadis à l’époque de l’ex président Ange Félix Patassé, deux grandes personnalités sont les favoris du régime, qui probablement après le départ de AFP l’un d’entre eux serait le futur président de la république. Il s’agissait précisément du Ministre de la Défense nationale de l’époque, Monsieur Jean Jacques DEMAFOUTH et du Chef d’Etat Major de l’armée nationale, le Général François BOZIZE.
Etant conscient de la montée en puissance de Jean Jacques Démafouth et de la confiance que lui donnait le feu Patassé Ange Félix, Bozizé qui lui aussi a des ambitions pour prendre le pouvoir, aurait voulu a tout pris faire échouer Jean Jacques Démafouth de la scène politique par tous moyens pour parvenir à ces fins. Voilà ainsi leur bras de fer puisse commencer ainsi après avoir arrivé à prendre le pouvoir par un Coup d’Etat le 15 Mars 2003, ce dernier qui use de toute stratégie pour nuire à la personnalité de JJD, ainsi pour parvenir à faire face aux multiples menaces et de résister à la poursuite de Bozizé en restant sur la terre de ses ancêtres la république centrafricaine, JJD aurait crée son mouvement de rébellion APRD, ce qui avait été très mal interprétée par Bozizé et ses partisans et conduisit Démafouth à faire face au géant régime KNK au pouvoir à l’époque or pendant le régime de Patassé après la poursuite du Général André Kolingba qui a échoué à un Coup d’Etat, le 28 Mai 2001 à cette période jean jacques Démafouth qui était le ministre de la défense, suite à sa déclaration sur les ondes nationales appelant les mutins à regagner les casernes en disant : « Kolingba a déjà fuit, revenez et regagnez vos rangs…. » Pour les partisans de Kolingba, jean jacques Démafouth aurait été l’instigateur des représailles contre eux par les gardes présidentielles de Patassé. Ceci conduisit Démafouth à faire face à une deuxième catégorie de géant le parti Rassemblement Démocratique Centrafricain « le RDC » du feu Président Kolingba qui a cédé le pouvoir au Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain « le MLPC » du feu Président Patassé, qui a son tour après la chute de Ange Félix, pensait que Démafouth aurait conjugué avec Bozizé pour renverser Patassé alors que ce dernier était dans les mêmes conditions de refuge comme lui. Voilà en quelques sortes Jean jacques Démafouth s’est opposé à latéralement trois géants qui ont successivement géré le pays depuis 1982 à 2013, aujourd’hui faisant presque partie de toutes les multitudes des partis politiques crées actuellement en Centrafrique et qui regardaient Démafouth avec un grincement de dents, à cela s’ajoute le pire événement de la coalition séléka. Commençant d’abord à comprendre que la philosophie séléka est le slogan du parti politique jean jacques Démafouth, la nouvelle alliance pour le progrès « la NAP », qui aurait été pris comme la dénomination de la coalition des rébellions créées par les populations du Nord et Est de la RCA qui se sont déversées dans les villes de province et revendiquaient leur accès à la modernisation et à une condition de vie favorable, ceci a été mal interprétée et réprimée par le gouvernement. Ayant entrainé l’adhésion des jeunes villageois qui sont déterminés de renverser le pouvoir à Bangui plus tard le 23 Mars 2013 mais n’auraient pas su qui aurait été le Président après avoir renversé Bozizé, alors c’est à Sibut que le sort de la séléka a été décidé par les mercenaires Tchadiens et soudanais faisant parti de l’UFDR dominante la rébellion or pour les jeunes villageois centrafricains qui pensaient que jean Démafouth saurait été le président mais cela a été décidé autrement. C’est en ces termes que les partisans de Bozizé auraient pensé que Démafouth est celui qui les a mis les bâtons dans leurs roues. C’est de telle sorte que Démafouth serait victime de toutes les allégations mensongères voire même subjectives au quotidien par ses adversaires politiques voulant le faire disparaitre de la scène politique tel que nous ne cessions d’écouter partout alors qu’il est innocent de toutes les accusations portées contre lui, c’est un homme auquel la politique centrafricaine doit toujours avoir besoin pour les grandes refondations.