Présidence : Jean Jacques demafouth l'Homme confiant pour le suivi des élections

Malgré toutes les incriminations que ses adversaires politiques ne cessent d'inventer pour nuire à son image, Jean Jacques demafouth ici, jean jacques demafouth labas en réponse jean jacques démafouth est l'homme de la situation, le plus fexibles et dynamique de son époque, le voilà de nouveau, l'homme confiant pour le suivi du processus électoral.

En Centrafrique un adage dit : « la RCA est comme un manguier auquel, si tu voudrais manger de la mangue, il faut le secouer afin que les mangues tombent pour que tu les ramasses. ». C’est bien ce qui se passe chez les agitateurs centrafricains qui croient qu’en faisant recours aux armes et à la violence, pourraient accéder à des hautes fonctions pour se jouir des privilèges politiques, en ignorant les réalités du peuple centrafricain qui depuis plus d’une cinquantaine d’année, grincent les dents dans la misère.

Les Chefs d’Etat Centrafricain doivent aujourd’hui avoir autour d’eux des individus de bonne volonté qui ont les capacités et les expériences requises de bien comprendre les fausses manœuvres de ces agitateurs afin d’épargner la gestion de l’Etat face à l’infiltration des imposteurs issus des fameux groupe de rébellion.

Les choses commencent là. En janvier 2010, les chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEEAC ont mandaté le Conseil National de Transition d’élire au suffrage universel indirect le nouveau chef de l’Etat de transition qui viendra succéder Michel Djotodia qui a failli à sa mission, tel en aurait été le cas, bon nombre des Conseillers Nationaux croient que c’est leurs tours de s’imposer en forces et de faire de la nouvelle élue qu’ils croient devenir leur poste électronique de retrait d’argent et d’autres opportunités. C'est-à-dire, ils auront à tout moment lui exiger leurs volontés afin qu’elles soient exaucées, car ils ne pouvaient pas faire ça à Michel Djotodia qui lui est un chef de rébellion et a réussi à renverser le pays par un coup d’Etat.

Les groupes militaro-politiques à leur tour qui croyaient y arriver sur les rives et d’embarquer dans le navire de gloire pour exiger des postes en croyant que CSP étant femme à la tête de l’Etat va se laisser faire. C’est bien cela qui se manifeste par des exigences tant inattendues. On voit les seleka qui réclament le poste du premier ministre, les antis balaka qui ne cessent de réclamer leur part du gâteau, le CNT qui ne cesse d’exiger aussi sa part du gâteau et même les partis politiques qui s’apprêtent pour les élections, attendent impatiemment d’envoyer leurs membres au gouvernement pour mobiliser davantage de ressources.

Voilà en quelques sortes les attentes et objectifs visés par cette classe d’imposteurs qui était à la fois au sein des groupes armés, à la fois au CNT et au sein des partis politiques pour tirer profit.

Devant leurs pressions nul ne pourrait tenir s’il n’est pas expérimenté. Face à cette circonstance, la sagesse est la maitresse du jeu, c’est ainsi par cette sagesse Catherine Samba Panza a pu appeler jean jacques démafouth pour le mettre à l’œuvre. C’est en ce jour que tous les agitateurs craignent leurs sorts car ce monsieur connait les réalités politiques de la Centrafrique et les plans machiavéliques que les ennemies de nations ont souvent l’habitude de mettre en œuvre.

Par crainte de la présence de démafouth auprès de CSP, les agitateurs se mordent les doigts et se tournent tout autour de rang en réfléchissant sur la manière faire partir jean jacques démafouth qui jouit d’une parfaite appréciation auprès de la communauté internationale à cause de son expérience en matière de régulation des conflits en RCA.

A bout de souffle et rempli de haine face à la présence de JJD auprès de CSP, leurs adversaires politiques ont fini par démontrer leur immaturité et leur jalousie contre ce monsieur au moment où il a été nommé pour gérer le comité d’organisation du forum national de Bangui, c’est en sens que le peuple a compris que son conseil national de transition est un club d’ami qui défendent leur intérêt et non un vrai parlement digne son sens qui doit défendre le peuple meurtri par les affres des conflits en RCA, alors que c’est démafouth qui gérait les fonds alloués aux campagnes de consultations populaires à la base qui ont eu lieu sur toute l’étendue du territoire national et à l’étranger et qui ont réussi avec plein succès.

Après plusieurs tentatives non abouties, les agitateurs courraient chez les militaro politiques. Ils arrivaient même chez le mercenaire tchadien Abdoulaye miskine recruté par Patassé pour combattre démafouth et Bozizé, celui-ci qui n’a même pas d’hommes à Bangui, car lors de la prise de pouvoir de la seleka, il a même compris qu’il pourrait être pris dans le piège par ses collaborateurs seleka, ainsi il a lui-même pris fuite pour se mettre à la cogna à l’Ouest du pays et aujourd’hui les gens ont voulu prendre le peuple centrafricain pour un insensé en accusant démafouth d’être derrière le carnage à l’église catholique de Fatima en mois de mai 2014, auquel les fameux hommes d’Abdoulaye miskine se réclament être les auteurs, un mensonge hautement qualifié qui décrit un plan contre la personnalité de démafouth, ils ont même osé d’enlever trois personnalités de ville de baboua dans la préfecture de Nana Mambéré pour exiger une rançon à payer en récompense de la mission accomplie à Fatima or c’est la duperie.

Voila à alors que c’est sous les yeux de tout le monde que des extrémistes musulmans aux km5, plus d’une cinquantaine voulant venger la mort de leur frère assassiné après une réunion de cohésion sociale au quartier cattin. Tout le monde les a vu venir à Fatima, venir, faire le carnage et rentrer en groupe, en chantant et en tournant tout autour du monument Koudoukou au km5.

Aujourd’hui le bas peuple a bien compris comment les adversaires de démafouth, conscients de sa vigilance voulant à tout prix le faire écarter de Catherine samba Panza qui reste tenace à leurs exigence afin de la faire chuter.